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francoise cadol
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Perspective(s)
Laurent Binet, Françoise Cadol
- LE LIVRE DE POCHE
- Litterature
- 2 Janvier 2025
- 9782253907701
Florence, 1557. Le peintre Pontormo est retrouvé assassiné au pied de sa fresque magistrale. Chez lui, on découvre une version inédite de son fameux tableau Vénus et Cupidon : sur le corps nu de la déesse a été peint le visage de la fille du duc de Florence. Vasari, l'homme à tout faire du duc, est chargé de l'enquête, et se tourne, pour l'assister, vers le vieux Michel-Ange, exilé à Rome. La situation exige discrétion, loyauté et sens politique, car l'Europe est une poudrière. Cosimo de Médicis doit faire face aux convoitises de sa cousine Catherine, reine de France, alliée à son vieil ennemi, le républicain Piero Strozzi. Du broyeur de couleurs à la reine de France en passant par les meilleurs peintres, sculpteurs et architectes, chaque correspondant de ce roman épistolaire joue sa carte. Tout le monde est suspect.
La peinture d'une époque qui réunira les passionnés d'histoire et les amateurs de polars. L'intrigue de ce Cluedo est colorée, foisonnante, mais garde l'essentiel : l'art de la perspective. Marianne.
Une de mes joies de l'été : le superbe roman de Laurent Binet, où le polar utilise l'épistolaire comme ressource narrative. La peinture, la condition féminine, la politique, le picaresque, la religion... et tout ça au profit d'une affaire criminelle... Courez-y. Pierre Lemaître. -
L'envol
Aurélie Valognes, Françoise Cadol
- LE LIVRE DE POCHE
- Litterature
- 28 Février 2024
- 9782253940777
Entre une mère et sa fille, l'amour reste toujours fragile. Entre bienveillance et malentendus, envie d'être ensemble et désir d'émancipation, portraits croisés d'une mère célibataire, Gabrielle, et de sa fille unique, Lili. D'abord fusionnelle, leur relation se distend quand l'école puis l'ascension sociale de la fille viennent heurter les rêves plus modestes de la mère. Un roman touchant, beau et émouvant sur l'amour filial, qui interroge les différences de classes, les notions de réussite et de bonheur, et qui pose surtout la question que nous avons tous dû affronter : peut-on grandir sans trahir ?
Son roman le plus personnel. - Marie Richeux, « Le Book Club », France Culture.
Magnifique. -Marie Lenglet, Ouest-France.
Un coup de coeur. -David Lantin, « La Scène culture », France Bleu.
Son roman le plus touchant et le plus intime. - Holly Goli, 20 Minutes. -
Notre part de nuit
Mariana Enriquez, Anne Plantagenet, Françoise Cadol
- Points
- 13 Janvier 2023
- 9782757895719
Un père et son fils traversent l'Argentine par la route, comme en fuite. Où vont-ils ? À qui cherchent-ils à échapper ?
Le petit garçon s'appelle Gaspar. Sa mère a disparu dans des circonstances étranges. Comme son père, Gaspar a hérité d'un terrible don : il est destiné à devenir médium pour le compte d'une mystérieuse société secrète qui entre en contact avec les Ténèbres pour percer les mystères de la vie éternelle.
Un grand livre, où l'Histoire et le fantastique se conjuguent dans une même poésie de l'horreur et du gothique.
Grand Prix de l'Imaginaire 2022.
Prix Imaginales.
Prix Planète SF des blogueurs 2022.
Parmi les meilleurs livres de l'année pour les magazines Point et Lire. -
La femme qui ne vieillissait pas
Grégoire Delacourt, Françoise Cadol
- LE LIVRE DE POCHE
- Le Livre De Poche
- 30 Janvier 2019
- 9782253100393
« À quarante-sept ans, je n'avais toujours aucune ride du lion, du front, aucune patte d'oie ni ride du sillon nasogénien, d'amertume ou du décolleté ; aucun cheveu blanc, aucun cerne ; j'avais trente ans, désespérément. »Il y a celle qui ne vieillira pas, car elle a été emportée trop tôt. Celle qui prend de l'âge sans s'en soucier, parce qu'elle a d'autres problèmes. Celle qui cherche à paraître plus jeune pour garder son mari, et qui finit par tout perdre. Et il y a Betty. Ce qui est arrivé à Betty est le rêve de toutes les femmes. Et pourtant.Un conte qui pourfend joliment la dictature de l'apparence. Véronique Cassarin-Grand, L'Obs.Un roman trouble, fascinant avec quelque chose d'étrange qui touche au fantastique. On a rarement vu un écrivain s'attaquer avec autant de singularité au mystère de la beauté éternelle. Du grand Grégoire Delacourt. Mohammed Aïssaoui, Le Figaro littéraire.
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À Paris, lors d'une douce soirée d'été, trois couples d'amis se retrouvent à l'occasion du prestigieux « Dîner en blanc ». Comme tous les invités, ils ont été triés sur le volet, ont des carrières florissantes dans la mode, le cinéma, des vies personnelles épanouies et glamour.
Quand le soleil se couche, des milliers de bougies sont allumées et la Ville lumière révèle toute sa magie. Mais pendant le repas, des avenirs professionnels se jouent, des liens se font et se défont, et les couples vacillent. Un an plus tard, au Dîner en blanc suivant, tout a changé. Pour le meilleur... ou pour le pire ?
Une centaine d'ouvrages publiés en France, 800 millions d'exemplaires vendus à travers le monde : Danielle Steel est un auteur dont le succès ne se dément pas depuis maintenant plus de trente ans.
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« Paris, le 11 mai 1906, 10 heures du soir. Cela fait trois jours que je vais chez Rodin. Demain, je vais de nouveau attendre le train avec impatience, mais je sais aussi qu'une fois arrivée à Meudon, je marcherai moins vite ! Avant d'aller chez lui, j'irai dans la forêt. J'ai besoin de respirer les arbres ! Au début, il ne me parlait pas. Ce qu'il pensait, il ne le disait pas. Juste le temps qu'il fait ! Sa bouche, ce sont ses doigts ! Et le langage de ses doigts, c'est la glaise ! Il la pétrit sans cesse, même quand il ne travaille pas. Il y a une distance immense entre nous ! Rodin est une île ».
12 mai 1906, le sculpteur Auguste Rodin, âgé de 65 ans, travaille dans son atelier de la villa des Brillants à Meudon. Un poète de 30 ans, Rainer Maria Rilke, devenu depuis peu son secrétaire, et une jeune femme, Marie Cabannes, prête à tout pour apprendre du sculpteur, évoluent à ses côtés. Elle ment à Rodin, il travaille, Rainer va mal, Rodin l'agresse, Marie les aime. Ils s'observent tous les trois, se troublent, se séduisent, au rythme du désir, de la passion, de la souffrance, de la création...
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Chop suey, c'est l'histoire de trois femmes et d'un homme qui vont réaliser qu'ils sont les personnages d'une peinture et que quelqu'un les regarde : un spectateur.
Chop suey, c'est aussi l'histoire d'un regard. le regard de ce spectateur qui entre dans la toile et qui fait de la toile son paysage mental. entre ces deux réalités, il y a un pont. une passerelle, sur laquelle vont s'affronter les lois et les désirs des uns et des autres. nous sommes à chicago dans les années 30. le jazz est à la mode. quatre personnes sont assises dans un café, quatre personnes qui, apparemment, n'ont rien à se dire et qui ont tellement de choses à raconter ! tout au long de ces vies qui se croisent, des confidences et des règlements de comptes, une tension naît, de plus en plus pesante, de plus en plus insistante.
L'artiste n'est pas toujours celui qui crée, il est parfois celui qui regarde. " chant du regard " est une collection qui se veut au faite de la création théâtrale contemporaine, et propose, grâce à la présence d'un dossier pédagogique un pont entre le regard de l'auteur et celui du lecteur.
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« Je sais que tu es toujours toi, Betty, tu as toujours cette âme que j'aime, ce coeur, mais je suis effrayé de te voir rester la même, tu es comme un rivage duquel je m'éloigne et qui me rappelle sans cesse que je vais mourir. »